Certains vendeurs immobiliers évaluent leur bien sur la base du prix d’achat. Cette technique n’est souvent pas efficace. En matière de l’immobilier, l’évaluation du bien dépend de la loi de l’offre et de la demande sur le marché. Outre cette loi, d’autres facteurs incontournables sont à prendre en compte. Découvrez-les ici.
La situation et le type du bien
Lors de l’évaluation d’un bien immobilier, il est capital de tenir compte de sa situation géographique. Pour avoir une idée du prix d’un bien dans les régions de la France, consultez le comparatif du prix de vente immobilier gouv. En effet, la ville et le quartier sont des facteurs qui impactent sur l’évaluation du prix d’un bien immobilier. Ainsi, plus votre bien se situe à proximité des infrastructures de commodité, plus sa valeur sera élevée. Cependant, il faut rappeler qu’à cause des nuisances sonores, les biens se situant sous les voies aériennes perdent de la valeur. De plus, qu’il s’agit d’une maison ou d’un appartement, le prix diffère. Ainsi, le type du bien joue également dans son évaluation.
La superficie, l’agencement et l’état du bien
La superficie du bien entre évidemment en compte dans la détermination de son prix. Toutefois, entre deux appartements d’une même superficie, le prix peut varier à cause de leur agencement. Un appartement bien agencé, mais de petite superficie peut paraître plus spacieux et coûter plus cher qu’un appartement vaste mais mal agencé. Ainsi, si le bien est de grande superficie et manque de commodités, il peut être évalué à la baisse. Le nombre de pièces est également un critère à ne pas négliger dans l’évaluation. Par ailleurs, l’état général du bien est un critère très capital à prendre en compte. Ainsi, si votre bien nécessite de grands travaux tels que les travaux de fondation, de soubassement, de construction, d’assainissement, etc., il peut perdre sa valeur normale.